Profile de l’employée : Johanne Delaney
Adjointe exécutive

 

Johanne Delaney dit, en blaguant à moitié, que parce qu’elle est la dernière de quatre filles d’une famille irlandaise « tapageuse », elle apprécie le calme.

Mais on ne le croirait pas quand on voit ses choix de carrière.

Après une carrière dans la haute technologie, où elle a notamment travaillé pour entreprise logicielle basée aux États-Unis, elle est maintenant au cœur du soutien administratif de l’ACFC – faisant rouler les trains proverbiaux aux bureaux de direction de l’Association des chemins de fer du Canada.

« J’ai un talent pour jongler qui nécessite parfois plus de deux mains, dit-elle. Tout va très vite. Les choses changent constamment. Je suis toujours en train d’apprendre. C’est très intéressant. »

Johanne est aussi l’une des forces motrices du Temple de la renommée des chemins de fer.

Sa vie privée n’est que légèrement plus calme.

Johanne est mère célibataire. Sa grand fille Ashely, 24 ans, a un trouble du spectre autistique et vit avec elle.

« C’est à la fois difficile et gratifiant. Elle est plus brillante que moi pour certaines choses, elle a une excellente mémoire et elle a un talent artistique. Je me repose sur elle pour certaines choses, et elle se repose sur moi. »

Pendant les rares moments qu’elle a pour elle, Johanne aime s’évader en lisant des polars et des thrillers. (James Patterson, J.D. Robb et Agatha Christie sont ses auteurs favoris.)

Bien qu’elle se dise casanière, elle aime aller faire de l’aquaforme à la piscine locale.

Quand la pandémie l’en a empêchée, Johanne est allée en ligne, a acheté de la laine et s’est mise au crochet.

« J’adore les motifs et la façon dont ça se développe. Je fais du linge de cuisine, des couvertures, des jetés et des écharpes. »

Johanne se crochète la vie et la carrière qu’elle veut. C’est du grand art.

Pour en apprendre davantage sur les autre membres du personnel de l’ACFC.